Skamall |
|
| grazie, Anto, i tuoi interventi sono sempre preziosi. CITAZIONE un comune pregiudizio anche fra i disinformati Khasis, è che la loro società sia matriarcale, ma non è così. la società Khasi è matrilineare. le proprietà sono delle donne. il padre, come capo di famiglia è "provider, master e guida". lo zio materno agisce come indiscusso direttore della proprietà che deriva dalle antenate ed è molto rispettato; egli viene consultato sulle questioni come l'organizzazione dei matrimoni dei componenti della propria famiglia.
il concetto "tip kur tip kha" significa letteralmente "conoscere" il proprio Clan (della madre) e il clan della padre -che a sua volta significa "rispettare" e "onorare" entrambe le parti. quindi la società Khasi può venir detta società matrilineare che ha una base patriarcale.
le figlie più giovani ereditano i beni mobili e immobili della famiglia prendendosi esse cura dei genitori. anche se le donne hanno grande influenza sulla famiglia ed il clan, gli uomini partecipano alle istituzioni politiche tradizionali anche se questo sta cambiando. CITAZIONE Mais cela ne signifie pas que les hommes soient satisfaits de leur sort, loin de là. « Nous trouvons injuste que les femmes aient tous les pouvoirs et nous aucun. Nous ne jouons aucun rôle, si ce n’est de nourrir nos bébés et de changer leurs couches. J’ai des amis qui se sentaient si frustrés qu’ils se sont mis à boire et à se droguer. Nous voulons nous sentir utiles à la société. Après tout, nous avons des droits, nous aussi », s’insurge Peter (95% des habitants sont chrétiens, d’où son prénom), dont la femme s’occupe à plein temps du commerce familial de fruits et légumes, et qui exprime par ces mots le sentiment de la plupart de ses semblables. Selon un article publié dans un journal du Bhoutan, sous le titre « La domination des femmes menacée », un mouvement de libération des hommes baptisé Symbai RimbaiTong Hai a vu le jour il y a six ans dans le Meghalaya. Dirigé par Ablemann Swser jusqu’à sa mort, il y a deux ans, il revendique des droits de propriété pour les enfants de sexe masculin et un plus grand rôle pour les hommes au sein de la famille. Ce mouvement s’est toutefois trouvé confronté à l’opposition non seulement des femmes, mais de la société tout entière. « Personne ne nous prend au sérieux », déplore John lyngdoh, son dirigeant actuel. http://la-cause-des-hommes.com/spip.php?article25CITAZIONE « C’est uniquement la mère ou la belle-mère qui s’occupe de son enfant. L’homme n’a même pas le droit de participer aux réunions de famille. Il a contre lui un clan : celui de sa femme, de sa belle-mère et de ses enfants. Alors, il ne lui reste plus qu’à jouer de la guitare, chanter, tomber dans l’alcoolisme et mourir jeune », conclut d’une voix grave Kaith Pariat. patetici.
|
| |